
Pour devenir éducateur ou éducatrice de la protection de la PJJ, il faut passer un concours de la fonction publique.
Inscrivez-vous au concours jusqu'au 5 mai 2025 et présentez-vous aux épreuves en septembre !
Un métier qui a du sens !
Être éducateur de la protection judiciaire de la jeunesse (PJJ), c’est faire partie d’une équipe composée de psychologues, d’éducateurs, d’assistants sociaux, d’infirmiers, de professeurs techniques.
Votre objectif ? Accompagner des mineurs qui font l’objet d’une sanction judiciaire pour les conduire vers une insertion sociale, scolaire ou professionnelle, quel que soit leur parcours ou leurs difficultés.
Pédagogue et ferme, l’éducateur de la PJJ construit un projet éducatif individuel adapté à la situation de chaque jeune pour favoriser son insertion dans la société et prévenir la récidive. Il peut proposer des recommandations utiles à la décision du juge des enfants.
Au quotidien, ses missions consistent à organiser et à suivre les activités du jeune en s’appuyant sur des partenaires associatifs et institutionnels.
Pour être éducateur de la PJJ, il faut s’intéresser aux problématiques de l’adolescence et à celles de la délinquance des mineurs.
L’éducateur de la PJJ peut exercer au sein de plus de 200 services et établissements de justice prenant en charge des mineurs, répartis sur le territoire national : foyers, centres éducatifs fermés, services de prise en charge éducative en milieu ouvert, unités d’insertion ou établissements pénitentiaires pour mineurs.
Fonctionnaire de l’État, la rémunération de l'éducateur de la PJJ est comprise entre 2 262 € nets/mois (hors primes liées à la situation géographique ou familiale) en début de carrière et 3 656 € nets/mois (hors primes liées à la situation géographique ou familiale) en fin de carrière.
Après avoir réussi le concours, les éducateurs suivent une formation rémunérée de 18 mois.
Le concours externe
Le concours externe est ouvert aux étudiants sortants d’école titulaires d’un bac+3.
Les filières sciences de l’éducation, sciences sociales et humaines, STAPS, animation socio-culturelle et les expériences dans l’animation, le secteur social, éducatif et les problématiques des adolescents en difficulté sont les bienvenues.
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